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Pimientos de Padrón – Poivrons de Padron

Pimientos de Padrón - Piments de Padron

Les Pimientos de Padron (ou Pimientos del Padron)… rien de tel pour évoquer l’été, les vacances, les tapas et le soleil d’Espagne!

Peu piquant le piment ou poivron de Padron est une variété de piment espagnol de petite taille qui bénéficie d’une AOP. Délicieux juste frit et assaisonné de fleur de sel, il peut être servi avec l’apéro ou en accompagnement d’un plat de poisson ou de viande.

Pimientos de Padron

Originaire de Galice, ce petit piment de 5 à 10 cm de long est un incontournable des bars à tapas. C’est simplissime à préparer, 5 minutes suffisent… parfois le plus difficile est de les dénicher  😉

Les pimientos de Padron ont la particularité d’avoir un goût et une puissance changeante ; généralement doux (maximum 4 sur l’échelle de Scoville), mais on peut néanmoins tomber sur un piment plus piquant. Il parait que 10 à 20 % des piments de Padron sont forts, mais aucun signe extérieur pour vous orienter vers du fort ou du doux.

Au goût, c’est une petite merveille, alors faites chauffer la plancha ou une poêle avec un filet d huile d’olive et régalez vous!

Pimientos de Padrón - Tapas

Pimientos de Padrón – Tapas

Ingrédients:

Pimientos de Padron (quantité suivant votre gourmandise), huile d’olive, fleur de sel, 1 gousse d’ail (facultatif)

Préparation:

Laver et sécher les piments. Laisser les pédoncules, c’est plus facile à attraper pour les manger avec les doigts. Faire chauffer la plancha ou une poêle avec un filet d’huile d’olive.

Cuisson padrons

Ajouter la gousse d’ail et les poivrons. Laisser cuire à feu moyen quelques minutes en retournant régulièrement jusqu’à ce qu’ils soient bien colorés. La peau doit être boursouflée et grillée.

Assaisonner généreusement avec la fleur de sel.

Pimientos del Padron

Pimientos de Padrón – Piments ou poivrons de Padron

Préparez l’apéro, les lunettes de soleil… et aimez la vie!

  Pimientos del Padron

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Commentaires
  1. Joelle | Répondre
    • Chantal Descazeaux | Répondre
  2. Yves Cinotti | Répondre
    • Chantal Descazeaux | Répondre

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